Risk Managers et actuaires : des relations qui se resserrent.

Si l'on entend peu évoquer le recours à l'actuariat dans le monde des entreprises non soumises à Bâle 3 ou à Solvabilité 2, celui-ci est bien réel et croît à l'heure du « Big Data ».
« En gestion des risques, il est nécessaire de faire coexister des approches chiffrées et non chiffrées. Pour ne pas être noyé par des risques parcellaires, aller chercher de la méthode, à l'instar des référentiels de contrôle interne est une bonne solution. Les actuaires apportent au Risk Manager l'approche quantitative au-delà du basic. Il comprend les avantages et limites de l'approche quantitative ainsi que les dispositifs de contrôle et toute la statistique de la division et de la combinaison des risques » résume un ancien Risk Manager aujourd'hui data scientist et actuaire chevronné.